L'homme charmant : Le Grand-Père de Noël

Le grand-père de Noël

---l’homme charmant---

-Maman, maman! Maman! Mamannn!! Dis, je peux avoir un biscouit? Disait la petite fille après avoir dévalée les marches, un sourire illuminant son visage, la veille de Noël.

-Non ma chérie, pas aujourd’hui, tu sais que ses pour demain. Répliqua sa mère, agitant son index, arborant elle aussi un sourire de bonheur.

-Juste un, s’illl te plaîttttttt! Insista la petite Chloé en chignant un peu.

-Bon juste un, mais ne le dit pas à ton frère! Craquant au désire de sa fille sous le regard suppliant de celle-ci. Comment aurait-on pu lui dire non? Un si beau visage d’ange elle avait.

Chloé repartit dans le salon, la bouche recouverte de chocolat. Son émission préféré allait commencé. « le chant des rossignols ». Son chien qu’elle avait nommé affectueusement Patouf l’an dernier lors de sa fête de ses 5 ans. Ce chien Bâtard était devenu son meilleur ami, dormant chaque nuit à ses côtés. Patouf au flaire développé huma l’odeur du chocolat et par instinct d’animal, il licha avec passion les lèvres de la petite fille qui était absorbé par la chanson du début de son émission.

Elle était tout se qu’un parent pouvait souhaité d’une enfant. Une fille calme, douce et obéissante.

Cette nuit, Chloé dormit paisiblement comme à l’accoutumé auprès de son chien qui l’enveloppait d’une chaleur animal. Les rêves l’avait choyée à la lueur de la lune qui traversait le temps pour l’illuminer, tel son sourire pouvait le faire auprès de ceux qui souffrait dans leur ténèbres. Si belle elle était avec ses longues boucles couleur maïs qui lui encadraient le visage avec perfection. Ses petite lèvres rose dénonçait sa jeunesse aux bouffées de personnalité. Son vœu étant de devenir une princesse. Chloé se plaisait à imaginer Patouf son chien, devenir un prince qui l’emmènerait au loin volant dans les cieux, une couronne d’or ornant son crâne.

Suite

Tous les préparatifs étaient fin prêt pour la grande fête de Noël. C’était chez la mère de Chloé que tout aurait lieu. La famille au grand complet serait présente.

La tante Armène arriva la première. Son mari étant mort écrasé par un avion, elle était désormais veuve, se saoulant pour avoir du plaisir chaque fois qu’elle allait à une soirée.

Chloé se promenait se faisant donner des baisés chaleureux par tous les membres de la famille. Ses lèvres étant sucrées par toutes les sucrerie qu’elle avalait. Son chien Patouf à ses côtés elle agissait d’un air supérieur auprès de ses cousin cousines, puisqu’elle était emmitouflé dans la confiance de son arrogance de petite enfant sournoise. Sa mère lui avait faire mettre une jolie robe rose en soie pour l’occasion. Jolie comme une rose, tous la regardaient avec un sourire complimentant sa beauté auprès d’elle et de ses parents.

Le soir se présenta enfin, tous et chacun bien empli de sucres, d’alcool et de dinde. Oh la fameuse dinde, un plaisir si intense que la cuisinière c’était donnée de glisser sa main dans le derrière de celle-ci congelée. Quelque cousin cousine c’était endormi en écoutant blanche neige et les 777 nains « version remake de Jésus ». Chloé était allé, épuisée de cette journée de bonheur, se coucher dans son lit aux couvertures rose et soyeuse. Sa chambre était décorée des vedettes des films d’enfant. Ayant le portrait de Lala dans les télétubies au-dessus de la tête de son lit.

Dans la cuisine, le bavardage et les rires étant fort, cela procuraient une ambiance propre à l’occasion. Une ambiance chaude et accueillante où tous s’aimaient et s’entraidaient.

L’homme charmant parlait de la façon de faire cuire une dinde Thaïlandaise . Son entourage le nommait Jean. Homme honnête et apprécié, les gens lui accordait leur confiance. Continuant de converser de la recette avec sa fille qui était en l’occurrence la mère de Chloé, elle fini par lui demander d’aller lire une histoire ;à sa fille, craignant qu’elle ne puisse bien dormir dans tout ce chahut. Jean accepta, serrant la main de sa fille au cheveux brun frisé, lui affichant un sourire charmant pour lui faire comprendre que cela ne le dérangeait guère. Elle le remercia puis lui conseilla un livre que sa jeune fille appréciait particulièrement bien. Jean vidant le reste de sa coupe de vin rouge, partit ver les marches d’un pas lent, ses pantalons serrés découpant avec horreur son derrière de vieux de 76 ans. Arrivé ;à la chambre de Chloé, il se glissa sans bruit jusqu’à la chaise près de son lit puis déposant sa main dans les cheveux humide de la petite, il lui dit à son oreille de sa voix humectée d’alcool ;

-Chloé, tu aimerais que je te raconte l’histoire du petit chaperon rouge?

Chloé bien heureuse de son attention, ouvra subitement les yeux démontrant avec tendresse son affection pour cette initiative à son égard.

-Grand papa-Bi, raconte moi une histoire! Dit-elle souriante, découvrant ainsi sa série de petite dent blanche.

Grand-papa Bi débuta le récit après avoir pris une grande respiration ;

-Ses l’histoire d’une petite fille très calme qui aimait gambader dans les champs cueillant des fraises. Elle savait garder les secrets et être obéissante… Il continua ainsi de lui lire l’histoire à sa façon, sous les yeux légèrement étonné de la petite fille.

Rendu vers le milieu de l’histoire, Jean pris une pause, observant avec un large sourire la petite Chloé qui taponnait le rebord de sa couette rose. Il se pencha lentement vers la petite fille au boucle d’or. Tout en déposant un baiser sur le coin des lèvres de la petite, à la surprise et l’étonnement de celle-ci, il glissa sa main gauche, rude et sec sous la robe de nuit de la fille, déposant ses doigts glacés sur le petit ventre chaud et doux, frôlant à répétition son nez sur le sien, prenant un respire dans son cou menu. Se raidissant sous ses contact inhabituelle, Chloé lui dit d’un air interrogateur et inquiet ;

-Grand…grand..pa que fait-tu, pourquoi me touche tu comme po..papa le..le fait à maman?

-Reste tranquille Chloé. Soit comme le petit chaperon rouge, ses ton cadeau de Noël, tu devrais être contente. De lui rétorquer l’homme charmant, resserrant son étreinte tout en lui prodiguant un regard animal.

Quelque longue minute passèrent pendant que la loque croûté ce plaisait à explorer son corps minuscule corps de son index tout en le fourrant lentement dans tous les orifices de la petite Chloé. Des larmes chaudes et salées prirent naissance dans ses yeux, qui prirent ensuite une traversée le long de ses petites pommettes humectant légèrement sa mince robe de nuit. Que le grand-père prit plaisir à lui soutirer sentant lui-même son membre se durcir dans ses pantalons.

(si vous continuez la lecture…vous êtes une gagne de pervers..Oh que oui une gagne de pervers!!!)

Tout l’étage inférieur faisait du bruit, chantant, buvant et démontrant l’amour que tous avaient envers chacun. Mais personne ne se doutait du terrible drame qui se produisait juste au-dessus d’eux.

Des bourrasques de controverse traversaient l’esprit de Jean. Ses souvenir lui revenant à en mémoire. Il se voyait lui-même âgé de 5 ans, son père le violant à mainte reprise, tout en lui chuchotant des mots doux à l’oreille. Où encore à l’âge de 10 ans, dans le salon alors que sont grand frère l’avait disposé dans une position pour qu’il soit aisé au chien de l’enculer. Durant toute sa pénible enfance, il avait été soumis à d’atroce souffrance. Lorsqu’il tenta de s’exprimer sur ses sujets douloureux, les gens le détestait systématiquement, pour se protéger d’une possible empathie qui leur ferais probablement trop de mal. Prit de rage une nuit, il partit emportant son chien dans le champ de blé près de sa demeure. Il sortit son couteau bâtard et tua le chien en de nombreux coup de couteau, le frappant plusieurs fois dans l’abdomen, le visage déformé par la colère. Puis le dernier cri aiguë de cabot sortit et, il était finalement mort, le blé taché de rouge.

Aucun spécialiste de cette terre n’aurait pu le sauver. Il a donc adopté sa propre thérapie. Affrontant à répétition son vécu en le reproduisant chaque nuit jusqu’à ce qu’il soit si familier, qu’il en vienne à l’aimer.

Dans sa totale léthargie, Chloé était figé, ne pouvant résister, elle restait muette l’observant d’un air horrifié. Le grand-père embarqua au-dessus d’elle sur le lit glissant ses mains le long de son corps, le frictionnant de haut en bas. La simple douceur de la peau de l’enfant lui procurait une jouissance intense. Il continua le mouvement avec ses mains comme si il masturbait un gros pénis humain. Deux petites bosse sur sont torse s’affichaient en tant que seins. L’embrassant avec une violence sans adresse, il lui partageait sa mauvaise odeur comme il le faisait autrefois avec ses victimes antérieures. Jean sortit finalement son gros membre ridé et crasseux à l’odeur de fromage pourri hors de sont pantalon, tentant difficilement de l’insérer dans l’orifice vaginal de Chloé, lui arrachant, à la petite fille, un séduisant cri strident de douleur. Déchirant les membranes intérieures, le sang de la vierge ne tarda pas à couler le long du pénis du vieux croûton. Pénétrant le sang de son sang, des instants interminable passèrent sans que personne ne se doute de rien malgré la longueur de son absence douteuse. Soudain, alors qu’il enfonçait respectivement ses pouces dans les yeux de sa victimes, il cria si fort qu’il en devin étourdit. Son cri alerta toute la famille qui s’empressèrent de monter à l’étage. Jean avait choisi Chloé comme compagne pour la fin des temps. La mère se précipita dans la chambre étouffant un cri d’horreur face à la scène. Puis l’homme charmant empoigna de chaque main un pli de peau de la gorge de l’enfant, tirant de tous ses muscles atrophiés vers l’extérieur ouvrant ainsi un brèche béante au milieu du cou de Chloé. Le père de la petite, le visage ruisselant de larme, avait été chercher son arme dans sa chambre et tendant le bras vers l’agresseur, il tira une balle qui tua l’homme, suivi d’un lourd silence.

Chloé était morte au royaume des morts en compagnies de son grand-père à qui elle serait enchaînée jusqu’à ce que le sort soit rompu.

L'homme charmant : Le Grand-Père de Noël Jean0bc

FIN

~Alexace~

Nombre de messages : 12 Date d'inscription : 23/06/2006

Sa fait peur Very Happy

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