Instinct Malvaillant Partie 1 de l'homme charmant

L’instinct malveillant
16 ans +



Un homme charmant était accompagné par une plantureuse jeune femme à peine sortit de son adolescence. Son rouge à lèvres aux couleurs de sang allait bientôt être répandu sur tout son corps encore ferme. L’homme avait des yeux où l’on se perdrais immanquablement à se noyer tant ils ne semblaient pas réel. Habillé d’un décolleté plongeant, elle se sentait mur comme une vrai dame. Malheureusement, par cette nuit où une douce pluie recouvrait la couverture de leurs corps humanoïde, elle allait se faire prendre ;a son propre jeu. Un jeu qu’elle regrettera jusqu’à la fin de sa vie, si courte soit-elle.

Il l’à fit monter dans sont auto coupé sport par des gestes galants, la mettant ;a son aise. Déjà qu’il avait démarré, on pouvait sentir qu’il ne dégageait plus la même chaleur apaisante. La dame sans le savoir… était assise au côté du faucheur de sa propre destinée. Elle remarqua bien qu’il ne se dirigeait pas dans le sens de leur destination et elle commença donc à s’inquiéter, parcouru d’une vague de nervosité. * Les portes étaient verrouillées et ils étaient bien loin maintenant de la civilisation. *

L’homme qu’elle avait cru si charmant déposa sur elle un regard félin en esquissant une paroles qui l’inquiéta de plus en plus.
-N’est pas peur, je connais un raccourci dans le bois. Souriant un peu, il s’alluma une cigarette de contre-bande.

Étant en l’absence de la solution d’une fuite, elle s’accrochait à l’espoir que sont instinct se soit trompé… mais ses doutes se confirmaient à chaque instant. Puis la voiture se mobilisa, éteignant les phares, l’homme en position de force joua le jeu timide simplement pour lui faire à croire qu’elle pouvait tout arrêter d’un simple mot "Non".

Il glissa sa main grossière et poilue sur le dessus, vers son entre-jambe qui dégageait une chaleur si excitante. La jeune femme ferma les yeux tentant de se sortir de ce cauchemar si effrayant. Elle qui croyait pouvoir se pavaner dans une salle de danse en compagnie de sa nouvelle connaissance. Il approcha ses lèvres des siennes, émanant à l’ouverture de sa gueule, une haleine putride et révoltante qu’elle subirait tout le long de son supplice. Elle était prise en cage, un homme lui massant avec maladresse la poitrine, l’embrassant ne ce souciant guère de son plaisir à elle.


Cette lecture n’est pas pour tout le monde. Abstenez vous si votre instinct vous donne un mauvais pressentiment.


Étant étouffée par sa langue, elle ne pu que reculer sa tête par réflexe, mais cela ne fit qu’attiser les envies de l’homme. Défaisant sa fermeture éclair, il l’obligea à venir aspirer son venin, portant sa main sur sa nique, l’entraînant dans des mouvement saccadé.

De longue minute passèrent où l’homme échappa quelque souffle jouissif jusqu’à ce qu’il soit exaspéré du manque de vouloir de sa jeune victime qui dans se yeux de désespoir, une semence épaisse pouvait être vu sur le coin de sa bouche. Les larmes coulant sur sa joue, se mélangeait à ce liquide sur sa lèvre. Son tortionnaire ouvrit la porte, corde et lame à la main, l’invitant à sortir. Il réouvrit les lumières. La femelle constata avec horreur un champ de femme morte étendu sur le sol, d’autre au seuil de leur fin, accroché à des arbres par des clous imposant, étant balancé par le vent soufflant une odeur pestilentielle saupoudrée des corps en décomposition. L’homme avait détaché ses cheveux noir, les laissant tomber sur ses épaules, lui donnant un air de monstre totalement inconnu par sa victime. Horrifiée, elle prit la course à l’aveuglette dans les sentier que contenait la forêt. Elle entendait le rire gras de celui qui l’avait enlevé. Tournant sa tête pour prendre note de la distance franchit, elle trébucha côte à côte au près d’une enfant visiblement morte depuis quelques mois. Glissant sur les tas de larves qui s’infiltraient dans les dépouilles en tentant de se relever, son agresseur la rattrapa d’un pas régulier, traînant toujours sa corde sur son épaule, un sourire sadique aux lèvres. Il l’empoigna avec une violence qu’il avait camouflée jusqu’à maintenant, pour l’assommer crâne contre le tronc de l’arbre situé derrières son dos. L’homme profita de son inconscience pour accomplir son rituel : la hisser dans le haut d’un arbre par un système de poulie, les mains jointes vers le ciel, nouée par des liens qui, dans cette position compressaient ses seins l’un contre l’autre. Accrochant également respectivement une longue corde pour chaque jambe, écartillant chacune d’elles, offrant une vue parfaite de son jardin secret.

Elle se réveilla finalement dans cette position extrêmement inconfortable, où elle pu voir l’horrible scène de l’homme s’assouvissant à l’intérieur du corps d’une enfant morte, tout en lui criant "Maman!". La jeune femme échappa un cris de peur qui alerta son violeur. Se défaisant de la morte, il prit un morceau de bois empli d’écharpe puis s’approcha d’elle. Lui flattant la cuisse avec l’objet, arborant un sourire morbide, sa victime éclata en sanglot. Sur ce, il entama ce qui allait la faire crier comme jamais.

La pénétrant à l’aide de son arme de bois dans des coups de force sans retenus. Créant entaille après entailles en son corps, des gouttes de sang s’échappèrent et tombèrent avec lenteur sur le visage de l’homme, Sortant sa longue langue pour en lécher le sang qui n’était pas le sien, il continua le mouvement avec encore plus d’entrain. Des cris strident pouvait se faire entendre à des lieues de là, mais elle ne faisait que l’excité encore plus, stimulant ses envies sexuelles. Malheureusement pour la jeune femelle, il n’atteignit point l’extase de son orgasme qu’il tentait tant depuis des années à revivre. Le même sentiment que durant la mort de sa première victime. Une enfant de 12 ans au nom de Claudia, elle avait été retrouvée morte, abandonnée dans un ravin toute nue en l’absence de ses dents qui lui avaient été soutirée par "L'homme charmant".
Trouvant le mouvement monotone, celui de la pénétrer à l’aide de son morceau de bois, il l’a fit descendre en coupant d’un geste sec les cordes la retenant. Tombant au sol, se fracassant l’avant bras gauche ainsi que sa jambe parallèle à son bras fracturé, elle gémissait de douleur comme une putin, suppliant les dieux de venir à son secourt.

L’homme se pencha au-dessus d’elle, plongeant son regard dans le sein pour sentir une dernière fois le souffle de son âme. Il entama, suite à ce moment significatif, la dernière étape. Du haut d’un arbre un corbeau, les yeux égoïste, observait l’homme découper la jeune femme en petit cube, débutant par sa jambe droite. S’amusant à gratter l’os de sa cuisse, il plantait son autre main dans la plaie sanglante pour en réchauffer ses doigts aux ongles crasseux. Lichant ses seins sale recouvert en parties par la terre boueuse, elle le contempla estomaquée, soumise à une douleur immoral.

Elle qui avait toujours été bonne pour autrui, partageant sa compassion avec tous et chacun. Peu importe ce qu’elle avait fait, elle allait mourir dans un bain de sang. Elle pouvait sentir qu’il avait ouvert un trou béant dans son abdomen, elle faiblissait. Pendant ce temps, l’homme était allé chercher un bébé mort qui traînait non loin de là. Puis tenant l’être inerte d’une main, il le fourra dans le corps de la femme, le faisant passer par la plaie, pour ensuite l’amputer de ses membres. Il repartit avec son bras, la laissant seule au seuil de la mort. Rendu à sa voiture, il plaça respectivement ses doigts au-dessus de ceux du membre qu’il avait prélevé de la femme pour se masturber, satisfait, fantasmant sur sa future victime.
Une Autre Histoire De L’Homme Charmant Sera À Votre Porté Bientôt! --> Maintenant arrivée! Lisez L'homme charmant le Grand-Père de Noël

qu'elle partie de cette histoire aimé vous le plus?

Moi j'aime bien quand, il entre un bébé mort, dans le corps de la fille. Et quand il se touche avec la main coupé,encore de la fille. Ses très significatif pour moié

Woaw c'est quelquepeu morbide ...