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 Les terres de Xémit - Rumeurs chez les Historions

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Lee

Lee


Nombre de messages : 144
Localisation : Trois-Rivieres, Qc
Date d'inscription : 26/10/2005

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MessageSujet: Les terres de Xémit - Rumeurs chez les Historions   Les terres de Xémit -  Rumeurs chez les Historions Icon_minitimeLun 25 Déc à 19:41

Le soleil était encore très bas dans le ciel. Sa teinte orangé commencent a peine a plomber sur l’océan éclairant le vaste marché centrale ayant une ouverture sur la mer. L’endroit était encore vide. Seul les nombreux bâtiments l’entourant donnait un peu de vie, vu les longues colonnes de fumées s’évacuant des cheminées et s’érigeant dans le ciel. On pouvait entendre quelques caravanes arrivées au loin, vu le bruit des roues des chariots heurtant chaque pierre du pavée de couleur sable. Plusieurs minutes passèrent. Le soleil rayonnait sur la place centrale. Une petite brise répandait l’odeur des pâtisseries fraîchement fait du matin de la boulangerie situé sur le bord de la mer. On pouvait voir les nombreux marchands ouvrir leurs chariots, dévoilant une tonne d’objets.

Non loin de la place publique, dans le petit cartier résidentielle, Anouï, une jeune Historionne, finissait son déjeuné. Cette jeune dame, d’environ 25 ans, ce qui est très jeune pour cette race vu la moyenne de vie de 200 ans, avait le goût d’aventure depuis sa tout jeune enfance. Elle vivait seule avec sa mère depuis sa naissance. Son père était un grand marin. Il avait participé à de nombreuses guerres et en était sorti toujours vaincu.

Cette histoire vaut la peine d’être raconté en détail. Le père d’ Anouï était marin a bord du bateau : Le survivant. Ce bateau avait une longue histoire. Au tout début, a la construction de ce navire de guerre, on l’avait nommée : L’avenir. Ce fus une des plus grande et des plus meurtrière machine de guerre que les Historions avait pu construire. Des l’élaboration des plan, par un des grand inventeur, qui sois dit en passant aie disparu a la suite de la publication, l’avenir de ce bateau était déjà tout tracé. Il était si bien conçu que nul bateau ne pouvait lui résisté, ou presque. Cela pris près de deux ans pour venir a bout de la construction du bateau. Des que ce bateau fus mis a l’eau, les plans de ce navire disparurent. Cela fus le seul et unique bateau conçu de ce genre. Il parcouru des miles et des miles faisant échoué et coulé une innombrable quantité de bateau ennemi. Il connus trois longue année de grand succès. Il connu de dur temps, et dus recevoir de majeures réparations. C’est en cet honneur que l’on lui donna le nom du Survivant. Malgré toutes ces blessures, il était en pleine capacité d’effectuer sa tache. Cela est jusqu'à ce que les Indarions, redoutable ennemi de ce peuple, délivre à leur tour le même bateau. Malheureusement, le père d’Anouï se trouvait sur l’un des deux monstres quand qu’une matinée, ils se rencontrèrent, non loin du large. La bataille fus rage pendant près de cinq heures. Cette journée la, dans la ville Historionne, nul fumée s’échappait des cheminées des pâtisseries et nus attroupement se tenait sur la place publique. Plusieurs petit hommes bleue avaient escaladé leurs hautes maison puis observaient les deux bateau tournoyer en se projetant des boulets de cannons. Seul les coups de feu brisèrent le silence. Aucun autre son ne pouvait se faire entendre. Les deux bateau avait presque épuisée leurs munitions, Les marins restant, enfin ceux n’ayant pas été touché par un de ces boulet, tentait de réparé les nombreux trous dans la coque. Les bateau avaient cessé de tournoyer et était tous deux cote a cote. Les deux semblant rechargé leurs canon, seul celui qui le ferai le plus vite gagnerai cette victoire, car les deux navire étaient dans un pitoyable état. Le navire Indarions fit feu en premier. Mais l’autre navire Historion fis feu sois une demi seconde après son rivale. La coque des deux bateaux explosa sous l’impacte des huit boulets de canon. Peu a peu, on put voir disparaître sous l’eau ces deux légendes. Depuis ce temps, les deux peuples avaient émis un traité de neutralité. Les deux peuples avaient exposé celui-ci au sommet du phare.

C’est ainsi que le père d’Anouï disparu. A vrai dire, les neuf cent cinquante membre de l’équipage disparu en même temps. Une lourde perte qui ébranla fortement les deux peuples. Sa mère depuis, élevai seul sa fille et prenait extrêmement soin de celle-ci. Malgré tout ses efforts pour la protégé et l’empêché de vouloir être comme son père, c'est-à-dire, avoir un penchant pour l’exploration et la curiosité, elle failli a son but qu’elle s’était fixé quand qu’Anouï atteint l’age de 20 ans. Elle était rendue à l’age où qu’elle pouvait prendre seul ses décisions.

C’était un matin comme à l’habitude. Anouï se leva des que les premiers rayons du soleil traversa sa fenêtre en forme de hublot. Sa mère l’attendant déjà a l’étage inférieur, avec le petit déjeuné posé sur la robuste table de bois. L’entière maison était fait de bois massif. Le village avait été construit et rénové avec des morceaux de navires échoués, ce qui donnait un style de ville marchande a celle-ci. La petite fille déjeuna sans dire un mot. Par la suite, sa mère lui tendit une petite bourse et lui dit : Vas faire quelques courses. Tu peut arrêté a la sucrerie t’acheté un ou deux petit bonbon. Elle lui tendu aussi une liste de commission comme a chaque matin. Comme a l’habitude, elle sortis et parti en direction de la place publique muni de son sac d’épaule conçu avec un vieux morceaux de voile blanc. Comme toujours, la place est bondé de gens, même a cet heure tardive. Elle se faufila habilement a travers l’attroupement vu sa petite taille jusqu'à une petite ruelle qui débouchait derrière la pâtisserie. Elle poussa la lourde porte faisant sonné les cloches accroché au plafond. Elle sorti deux piécettes de sa bourse et les tendis au gros monsieur derrière le comptoir. Elle nu même pas a dire un mot. Le boulangé lui apporta avec un grand sourire une grosse miche de pain. Voila ma p’tite! Tien un p’tit cadeau pour toi! Le boulangé lui tendis un petit gâteau qu’elle pris avec vivacité pour l’enveloppé dans un autre sac et l’enfouir dans son sac d’épaule avec la baguette de pain qui dépassait de presque tout son long, a peine enfoncé dans le sac pour le gardé a l’intérieur. Elle remercia le pâtissier d’une voix timide et faible : Merci m’sieur. Sous ses deux petit mots, elle fis demi tour puis retourna dans la foule se faufilant une fois en plus entre les jambes des grands hommes. Il y avait toujours quelques bouffons au milieu de la foule qui émettait des rumeurs. A l’habitude, nul n’y portait attention. Mais cette fois ci, il y avait ce petit homme, a la peau noir, qui se tenait debout sur une caisse de bois faisant différents signes de mains, battant quelques fois des ailes. Anouï avais toujours été intrigué par ces étranges chauves-souris. Celui-ci capta son attention, non par ses dires mais par son physique. Elle s’approcha le plus possible de lui pour l’examiner. Sans y porter plus d’attention aux dires du Noctarius, elle l’examinait de tout sens pendant que celui-ci prononçait son discours. Oyé Oyé! Je sais que vous avez des tonnes de minerais pour vous boulons de canon! Mais en survolant hier la ville des Indarions, j’ai pu voir ce qu’ils mijotaient! Et gut! Ils sont en train de construire un bateau qui résistera a vos minable boulet de canon! Mais j’ai une solution à vos problèmes! Près des mines Makadok, il y a ce minerai jaune qui explose! Remplissez en vos boulets et faites en sortir une longue mèche. Mettez y le feu puis propulsez le sur l’autre navire! Sous l’impacte il explosera et détruira le navire! C’est le seul moyen! Le Noctarius prononça son discours pendant plusieurs minutes avant de s’envoler en direction de la maison d’Anouï. A son envol, Anouï pris les jambes a son coup, n’ayant pas encore fini de l’examiner, et tenta de suivre a travers la foule celui-ci. Apres avoir atterri dans une petite ruelle, elle pus apercevoir de nouveau l’être gris. Celui-ci était perché sur une clôture. Elle s’approcha tranquillement et observa celui-ci faire. Il marmonnait quelques petits mots a peine déchiffrable. Mais avec l’extraordinaire ouie qu’Anouï possédait, elle put en tiré quelques mots. Il disait a voix faible : Enfin mon jours est arrivé! Ma chanse s’est enfin présenté! Vengeance sera bientôt accompli! Tous seront détruits Tous… Tout… Tous! Haha haha.
La petite fille figea sur place. Elle recula d’un pas accrochant cette petite lampe suspendu a une des battisse avec sa lampe. Le Noctarius releva soudainement la tête puis battis des ailes. Anouï pris les jambes a son coup puis s’enfui dans ce petit labyrinthe de ruelle. Le Noctarius la suivait de près mais pas assez pour la voir. Elle pouvait entendre les battements d’ailes derrière elle. Elle courrait le plus vite qu’elle le pouvait. Son cœur débattait à toute vitesse. Elle ne voulait pas que ce monstre la voie car dieu seul sais ce que ces êtres sont capables de faire! Elle déboucha en fin sur une dernière longue allée menant à la place publique. Elle se dépêchait à rejoindre la foule, éclairé par les rayons du soleil, avant que le Noctarius puisse la reconnaître. Quelques pas encore a faire, la chauve-souris venais seulement de tourné dans la même allées. Anouï rejoignis la foule et se fondit entre les jambes des milliers de personne. Le Noctarius fis demis tour, n’ayant pas pu voir le visage de la petite. Elle se rendis a sa demeure sans perdre une minute. Elle poussa vivement la porte puis raconta tous d’un ton énervé a sa mère. Ses mots s’enfargeait les uns par-dessus les autres : M’man! M’man! L’Noctarius veux se vengé! Il veut qu’on aille chez les Makadok! Il l’a dit je l’ai entendu! Il dit des rumeurs! Des rumeurs! Sa mère calma sa petite puis réussi a tiré quelques mots de ce qu’elle avait pu dire. Elle savait que sa fille était munie d’une grande imagination. Elle lui dis d’une voix calme : Mais non Anouï. Tu as sûrement mal entendu! Tu sais que les Noctarius ne sont pas en colère après nous. Ils sont nos amis. La petite ne savait pas quoi dire pour convaincre sa mère, monta dans sa chambre et ferma la porte bruyamment. Elle se tenait debout devant la fenêtre regardant la place publique réfléchissant a un plan pour essayé d’empêché cela.
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