Imaginez vous une terre, une plaine a vrai dire. Un espace verdoyant ou loge différents peuples de races différentes. Certains dans des montagnes et d’autres dans un foret. Quelques uns préfère s’isoler dans une grotte tan disque d’autre aime mieux s’exiler sur une île. Il y en a aussi qui vivent sur le bord de l’eau, protégé par une grande muraille. En ces terres, ou la haine, l’amour et la croyance alimente cette flamme se logeant a l’intérieur de chacun de nous assurent a chaque êtres vivants la survie de son peuple car chaque individu, peu importe quelle couleur de peau, aussi blanc que neige ou aussi noir que charbon, se trouve un désir de vengeance envers un autre peuple causé par des mentalités différentes ou d’anciennes légendes. Peut être seulement car leurs croyances se heurtent en certains points faisant éclaté une première petite chicane pour ensuite se transformé en guerre. La mentalité de la race au début troublé puis par la suite stagne quand tout le monde s’est entendu sur le même point. Quand ils décide d’éliminer un peuple ou une croyance inverse à la leur car c’est ce qu’il désire le plus, rien sur cette terre ne pourra les arrêter car quand on désire réellement réaliser un rêve, tout l’univers conspire a nous aidé a réaliser celui-ci. Mais qu’arrive t’il quand un désire de tué rencontre un désire d’amour, de paix et de vivre?
Nous voila dans une impasse. C’est a ce moment la que cette flamme est a la fois a sa plus forte intensité mais vacille aussi, très troublé ne sachant pas vraiment par quel moyen contourné cet impasse pour pouvoir réaliser sa destiné. Pourquoi un petit être ayant été toute sa vie sage, n’ayant aucuns événements à se reprocher et a été respectueux toute sa vie peut tenir de ses longs doigts agiles un arc, cet objet donnant le droit d’enlever la vie a l’utilisateur de celui-ci. Cette arme, a la base un être vivant lui aussi, un arbre, se venge a son tour. Nous voila dans un monde guidé par la vengeance et la violence.
Dans ces vastes plaines se trouve cinq peuples les plus différents les uns des autres. Certains sont en paix et d’autre n’aime qu’entendre le son des épées. Ce monde est séparé en deux par une large rivière qui donne des frissons dans le dos. Elle découle des terres interdites au nord des terres de Xémit. Puis ruisselle silencieusement à travers les montagnes où loge les Makadok. Ensuite elle travers ravagent tout sur son passage les larges plaines puis va se perdre quelque part en arrière du château du roi Pillus II. Au nord ouest, se trouve un immense foret se propageant sur des kilomètres vers le sud, c’est en ce paisible endroit que loge les Historions. Cette vaste foret dense recèle de nombreux pièges installé par ces petit hommes pour empêché les intrus d’y pénétrer a l’intérieur de celle-ci se trouve des feuillages de toutes les couleurs donnant vie a la foret. Une innombrable quantité d’espèce animale y loge en toute quiétude. Si nous nous dirigions quelque peu vers l’est, aux amonts de la rivière, il se pourrait que nous ne vivrions pas très longtemps. Tout près de cette forte se trouve un oasis. Mais pas un oasis ordinaire. Même les voyageurs les plus assoiffés n’oseraient pas y tremper leurs langue pour s’abreuvé et cela est si ‘la bête’ ne leurs tombe pas dessus avant. Cet endroit est le lieu de sacrifice pour les Historions. C’est en ce lugubre endroit qu’ils offrent des vies pour montrer fidélité à leur dieu. Étrangement, l’eau de cet oasis est teinté rouge sang, et est aussi épais que celui-ci a la texture. C’est à se demander si c’est vraiment de l’eau! Continuons encore vers l’est, enjambons la rivière, hop! Encore quelques pas et en dessous des montagnes se trouve un tunnel sombre et humide. C’est la que loge les Noctarius. Cet endroit est impossible a trouvé vu les milliers de montagnes aux alentours. Selon plusieurs rumeurs, des milliers de tunnels souterrains parcourrait le sous sol des terres de Xémit. Il n’y a que trop de rumeurs sur cet endroit. Nombreux ont été ceux qui ont tenté de s’y aventuré mais nul sont ceux a y avoir réussi car si quelqu’un s’y approche, si ce n’est pas le dragon d’os qui les décapite de tel stupide explorateurs, ce seront les Noctarius qui les capturerons et le feront travaillé dans leurs mine souterraine, selon une autre rumeur cette mine… ensuite, sortons de cette petite grotte, allons faire un petit tours dans les nuages pour voir d’ensemble cette plaine et nous retrouvé… ah! Juste ici au sud. Il y a une énorme muraille érigé il y a de cela des siècles protégeant les Historions contre les attaques des ennemies provenant de la terre. Tout le long de cette immense muraille faites de belles pierres bleue, de nombreux poste de garde y sont installé pour y monter la garde. La nuit, on y allume des torches pour être capable de voir ceux qui tenterait d’escalader le mur. La lumière reflétant sur le mur brille de tout éclat d’un ton bleu sur plusieurs mètres en direction de l’intérieur des la plaine. L’autre coté de cet merveille se trouve l’immense village Historions. Les Historions sont un peuple de commerçant et possède une immense place publique ou circulent des gens de plusieurs races. De nombreux petits commerces sont montés exposant sous le soleil tout les objets imaginables. A quelques minutes de marche de cet endroit ce trouve un immense port maritime accueillant une importante flotte de guerre ainsi que de nombreux bateau de pêcheur. La mer sur laquelle se trouve les bateaux est supposément maudite selon certaines rumeurs. De nombreux combats sans merci s’y ont été livrés. De la son nom de rivières aux âmes. Si on prend un bateau et navigue pendants plusieurs jours, à quelque part au milieu de cet océan se trouve une île. Les Indarions y habite. Ils sont depuis toujours les rivales des Historions car eux aussi possède leurs marché publique. Comme pour les grottes des Noctarius, on en sais que très peu sur cette ville car l’ordre a été donné de faire couler tout bateau Historions et vu qu’aucuns autre peuple ne sais en construire.
Les peuples vivants sur ces landes diffère tous selon leurs goûts, leurs croyances, leurs cultures, leurs festivités, leurs mentalités, leurs histoires et même par leurs secrets. Ils ont chacun leurs habitudes et leur physique mais ces êtres semblant n’avoir strictement aucuns point en commun sont bien plus proches les uns quel les autres que l’on peut le penser. La force d’aimer surpasse toutes les lois de la physique. C’est en majeur parti cela qui est capable d’unir certains peuples. Même les grosses bêtes brusque tel les Makadok ou les êtres assoiffée de sang ont leur petite flamme!
Lun 25 Déc à 19:40