Je me branle.
Dans ma chambre il fait chaud, je suis a genoux sur mon lit, nu et vulnérable.
Je me touche de ma main gauche, tout vas bien pour le mieux, revues pornographiques dans la main droite, je suis au paradis. Je ressents l'effet voulu, comme le sommum du confort possible, une véritable sensation de bien-être et de paix. Aaah ...
Encors une fois
Le membre quelquepeu rouge, je poursuis une deuxième fois, feuilletant les pages et posant mon pervers regards sur les formes devant moi faites pour m'exciter je frémit et encors une fois je revis ce bien-être un peu plus intensément puis plus rien.
Un anomalie, un problème, je ne ressents pas l'effet de paix après m'avoir satisfais, il m'en faut encors je veux le revivre !
C'est comme une drogue vicieuse je ne peu arrêter il faut que je recomence ...
Je recherche encors cet effet, feuilletant a nouveau mon magazine, soudain j'écatre mon magazine je ne m'y m'interesse plus je regarde par la fenêtre, pensant aux oiseaux cela rend le plaisir plus intense mon esprit flotte les mouvements saccadés se font tel un réflexe je n'y pense plus je pense a l'herbe verte qui borde ma maison.
Le sexe ne m'intetesse plus seul le plaisir compte, je continue penden plusieurs heures et durant, je perd le gout des choses, je ne veux plus rien je ne suis rien je ne pense rien.
Rien, plus rien ne m'attise la vie est fade et morne. Je prend alors mon fusil magnum caché sous mon lit, même le tenir ce qui avant me procurait un intense plaisir est devenu fade, je le pointe sur la tête et je presse la détente.
Selon vous, un homme pourrais-il se déprimer de la vie, se retirer toute la joie de vivre qu'en se satisfaisant sexuellement plusieurs fois et a maintes reprises au point d'être tellement satisfait et de ne plus rien vouloir, avoir envie au point de s'en enlever la vie ?