C'est quand ma conscience se fond dans la nuit,
Que défile un conte merveilleux dans mon esprit.
Sans être touché, je te sens blottie contre moi,
Et ton doux souffle me caressant, je me sens roi.
Je te veux réfugiée dans mes bras pour toujours,
Parce que chaque instant est vraiment trop court.
Tes baisers, ardents comme les flammes enragées,
Continuellement font pétiller mes désirs refoulés.
La puissance de ton regard sur moi est absolue,
Un velours me dérobe mes forces sans effort,
Je ressens soudain ce que jamais je n'ai connu;
Un abandon complet à cet enviable sort.
Brillant et chaud comme le feu,
Il apparaît magique, invisible, impalpable.
Il est là, cet amour délicieux,
Dont la création nous sommes seuls coupables.
Tant de détours et de tournures utopiques,
Pour décrire ce sentiment à quel point bohème...
Ce grand labyrinthe de mots épiques,
Pour tout simplement t'écrire que je t'aime