De toi on ne sait rien ou presque,
Petite fleur perdue au delà des eaux,
On t'imagine romanesque,
Toujours en quête du plus beau,
Parfois submergée de tristesse,
La mélancolie est venue te visiter,
Tel est le prix de ta jeunesse,
Point elle ne veut s'en retourner,
Dans ton regard étincelant,
Le temps lui même semble suspendu,
Aussi profond que l'Océan,
Plus d'un homme s'y serait perdu,
Frêle esquif sur la mer du destin,
Tu vois un monde peu chaleureux,
Mais songer à t'arrêter est vain,
Car en toi vit le plus fougueux,
De ton avenir tu ne peux douter,
Femme resplendissante de fantaisie,
Ainsi habillée de ses qualités,
Pour toi c'est la vie qui sourit.
Walz, nom de code!