La horde des brumes.

La horde des brumes. (Premiere partie)

Un vieux assis sur une chaise chambranlante racontait une légende à des
jeunes enfants qui étaient autour de lui. Le vieil homme était, comme qui
dirait, un ermite. Barbe longue, cheveux en broussaille, linge
délabré, la peau sur les os et des yeux vitreux semblant avoir
vus les pires atrocités dans ce monde étrange, le vieil homme avait
une vieille pipe en bois qui était brûlée à quelques endroits.

Le vieil homme prit des épices étranges et les déposa dans sa pipe
puis compacta le tout quelque peu. Il prit une branche allumée dans le
feu et alluma sa pipe. Il prit quelques bouffées de fumée puis regarda les jeunes un
après l'autre d'un regard perdu. Puis, après un long soupir, il commença
son histoire.

Je n'avais que quinze ans et j'étais heureux. Je vivais dans un
petit village près d'une montague au sommet presque inatteignable.
C'était durant la saison des foins. Les villageois était tous dans les
champs, mais moi j'était parti chasser. Je m'étais retrouvé dans une
prairie inconnue à mon village. Je voyais tout du haut d'une petite
colline. La prairie était magnifique. Le soleil faisait reluire les
petites gouttes d'eau sur l'herbe près de la petite rivière. Le vent me
carressait le visage comme la main douce d'une mère touchant la joue de
son petit. Les odeurs de fleurs de toutes sortes me fesaient sourire à
chaque pas que je faisais vers la rivière.

Je marchai le long de la riviere, oubliant le temps et la raison de ma
présence dans les bois. J'étais au paradis quand j'aperçus un magnifique
cerf qui me fit sortir de mon rêve éveillé. Je regardai la bête
quelques instants, figé sur place par sa grandeur. Il se tourna
vers moi et me regarda quelques instants. Puis, d'un coup, il tourna la tête
et parti en courant. Je pris mon arc accroché à mon épaule et partit
à sa poursuite. Ce cerf était un trophé de roi et il n'allait pas
m'échapper. Je couru après pendant près d'une heure sans un simple
arrêt. Il se mit alors a descendre une colline, alors je m'arrêtai en haut
de celle-ci et encochai une flèche puis tirai en une fraction de seconde.
La bête trébucha et se cassa plusieurs os avant d'arriver au bas de la
coline, morte.

J'allai ramasser la bête pour ensuite reprendre le chemin du village.
Étrangement j'arrivai par la montagne. Je regardai mon village avec
fierté. Soudain, j'aperçus au loin une brume épaisse sortir des bois.
Je me demandai ce que c'était, alors j'attendis sur la montagne,
observant. La brume, étrangement, grossissait considérablement. Le vent se
fit étrangement plus froid et on entendit un bruit sourd de la forêt
d'où provenait la brume. Je vis la brume s'approcher du village de plus en plus. Je commençai alors à être de plus en plus inquiet. Soudain, on entendit des cris venir des champs près du village. Puis, quand la brume atteignit le village, le hurlement d'un loup se fit entendre. La brume recouvrit alors le village en son entier. Étrangement, aucun bruit ne se fit entendre. J'attendis alors que la brume fut partie plus loin pour me diriger vers le village à toute vitesse, laissant ma prise derrière moi. Le village était intact, mais arrivé légerement plus profondément dans le village, les murs étaient tachés de sang frais et des morceaux d'os traînaient un peu partout sans aucune chair autour.

J'arrivai devant ma maison pour constater que le malheur avait aussi frapper chez moi. Depuis ce jour, je suis un ermite.

Le vieil homme baissa la tête puis soupira. Un jeune garçon regarda le vieil homme et lui posa une question:

Mais monsieur qu'est-ce qui a fait ça à votre village?

L'ermite regarda le jeune homme avec une horreur dans les yeux qui fit taire le jeune garçon.

La horde des brumes mon jeune gaillard. Elle s'attaque aux villes et villages et n'a aucune pitié. On dit que la brume est causée par des créature au poil sombre et d'une férocité incroyable. Ses guerriers, eux, sont très peu connus. On dit que ce sont des soldats maudits ou des magiciens devenus déments.

Un homme de forte taille arriva et cria a l'ermite comme à un chien.

Part! On ne veut de toi et tes sornettes ici!

Le vieux aquiessa et partit le dos recourbé s'aidant de sa canne.

si vous avez des commentaires gener vous pas mais pour les fautes je sais deja.

je timagine tres bien avoir penser a cette histoire lorsque tu chassais dernierement avec ton pere. Je suis persuader que tu te vois bien dans la peau de cette ermite.

Aussi, ses le genre dhistoire que lon se racontais lorsque je tai parler de profania pour la premiere fois, ou on disais quon allais attaquer les village.

Lessence de lhistoire je laime bien, mais quelque detail me chicotte, comme larret trop sec des peripetie, comme quans le gamin dit rapidement a lermite de quitter, ou quand tu cesse soudainement de parler de la bete, qui semblait des plus etrange. Tu utilise egallement trop de fois le meme mots, se serais bien d varier le vocabulaire.

Mais jimagine que tu nous garde tout un succes pour la deuxieme partie.

Mis a par cela, je vois une amelioration dans tes creation depuis le temps que je les lit.

Continue cousin, tu a la plume dans le sang.

La descriptions de la bete ne devais pas etre faite pour cette raison quel est courte.
Pour larret sec tu vas comprendre dans les suite la raison et pour mes mot repeter... bein jy travaille

*se dépoussière lentement, levant ses épaules courbées tel un vampire se levant au crépuscule*

Rebonsoir,

mes commentaires assez sommairement:

1) Je n'ai pas aimé. Peut-être à cause du début qui me semble banal ou encore avec le nombre impressionnant, pour ne pas dire incalculable, de fautes d'orthographe qui font de ce texte un univers aussi aride que le Sahara.

2) Une fois commencée, soit après les deux premiers paragraphes, j'aime bien ta première phrase: ''J'avais 15 ans et j'étais heureux.'' C'est superbe comme phrase.

3) Développe plus tes thèmes. Tu parles de chasse, fait le savoir en variant ou choisissant ton vocabulaire en conséquence. Tu décris un paysage, bah ça, c'était bien.

4) Bravo pour l'effort, enfin un texte ''fantastique'' médiéval (je me trompe?) qui commence autrement qu'avec un chevalier. Cependant, je persiste en disant que tu gagnerais en enlevant les deux premiers paragraphes à moins qu'ils aient une suite dans l'histoire. Si tel est le cas, et bien ne m'écoute pas!

tout vas etre expliquer plus tard

Fait vite en ce cas, j'aime pas rester avec des mauvaises impressions; sauf si elles sont fondées.

je vais me depaicher mais pas trop pour que se soit bon
et pour tes explication sa vas dans 3e partie

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Deuxieme Partie
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Un jeune homme entra dans un brume epais avec un sourire démoniaque au lèvre. Le jeune homme était abiller de manière très étrange: l'armure noir qu'il portait était imprégnier d'une mark forte étrange. On aurait dit un nuague rouge sang transpercé d'épée.

Il pénétra un mur de nuage pour se retrouver dans une sorte de sphere dont le plancher était recouvert de brume. Il se dirigea vers le centre de la place où une tente était ériger. Il passa pres de plusieur homme en armure de toute sorte et plusieur bete enorme et d'orc qui s'agenouillaire au pasage du jeune homme. Arriver a la tente deux loup énorme était placer chaque coter de l'entrer. Ses loups étaient plus énorme qu'un ogre et juste a leur regarde on pouvait voir la rage et la cruauter qui les abitaient. De leur pattes une brume épaisse se dégajai. Ses creatures hurlaire a l'ariver du jeune homme et le saluere comme si il était un roi. Quelque seconde apres un démon sortie de la tente. Sa peau était rouge sang et ses yeux brulais en permanance. Son armure noir était arborer de croc de tout genre et ses ailes qui en sortait était encore plus imprésionnante. Le démon regarda le jeune homme avec un sourire infernal. Le jeune homme s'agenouilla devant le démon et baissa la tete jusqu'a se que l'etre démoniaque lui fase signe de se relever.

Maitre, votre nom est peux connu. Votre gloire n'est point achever.

Le maître grogna se qui fit reculer tous. Il s'enragea et prit un homme dans sa main. Il lui rentra ses griffes dans la peau avant de lui arracher la tete de ses crocs. Il se calma et puis prit paroles.

Ses être non pas vue le pire de se monde... je leur démontrerai... TOUS AU ARMES! NOUS ALLONS MANGER!

Tous hommes et betes crierent de joie et de démance. Tous partir s'équiper le plus rapidement possible et se mire en rang. Le demon fit aparaitre un hache sombre dans sa main. La hache semblait avoir quelque chose qui bougeais a l'interieur. Des spectres noir y semblait prisonier.
Larmer avanca alors vers un village...

Lionel était sur le toit de sa maison a contemplé les étoiles. La nuit était parfaite pour lui. Ses reverie l'empotait dans un autre monde. Il était dans son monde et son coeur battait de joie. Soudain un bruit sourd dans la nuit le fit sursauter. Il crue que se fut un coup de tonnere mais scruta quand même les environs. Quand il eu fini, pendant qu'il se recouchait, il apersu une brume sortir du bois. Il se rapella alors les légendes de la hordes se qui le terrifia. Il sauta sur le balcon pres du toit et partie vers la tour principale de la ville pour sauner l'alarme. Les gardes arrivairent quelque seconde après et questionnaire le jeune garçon sur le pourquoi de son geste. Le jeune homme tremblant pointa la foret d'où sortait la brume. Les gardes se tournairent et commensairent a paniquer vue la vitesse de sa croissance. Un des gardes monta dans une échelle disimuler pour aller sonner une cloche cacher. Après seulement quelque seconde des vinghtene de garde et d'archer était poste sur les murs de la petite citer et d'autre arrivaient.
Les archers, quand la brume fut proche tirèrent des flèches enflamer sur la brume dans l'espoire de la faire disiper ou encore mieu des éliminer. La brume après la seconde voler s'arreta. On entendit alors des hurlements de loups puis par la suite un crie de rage qui semblait venir de l'enfer. Un tambour alors résonna et on vit sortir de l'ombre plusieur orc chevauchant des loups énorme lancant des javelots qui atteignir leur cible le plus claire du temps. Puis ils redispareurent dans l'ombre de la nuit. Les archer restant commencérent a paniquer mais leur général les calma et ordena de continuer les volers de flèches. Quelque seconde apres que l'orde sois donner une dizaine de loup-garoux escalada la muraille pour foncer par la suite sur les archers leur coupant la tete avec des lames rouiller ou leur sautant au cou. Un loup garoux partie en solitaire, pendant que les autres déchiquetaient les hommes, pour aller ouvrire la grande porte. Des gardes l'attendais épée élever pret a se défendre. Les hommes fonçèrent sur le loup-garoux mais freinèrent sec quand ils virent les autres arriver couvert de sang agriper au mur. Quelque homme priere puis les loup-garoux s'élencaire pour les tuer rapidement. Les tetes revolere et les membres furent arracher rapidement pendant qu'un autre ouvraient la porte au reste de l'armer. Apres la porte ouverte, la cavalerie de la ville arriva et fonca vers les bete ensanglater du sang enemie. Arriver a quelque mètre des bete sombre, on vie sortir de la brume maintenant proche une horde d'orc chevauchant des loups aussi gros qu'un cheval. Ils sautèrent par desus les betes qui s'étaient pencher puis arrachèrent d'un coup de machoire la tete des cheval ou coupait les chevalier en deux de leur hache. Par la suite on vie des centaine d'homme, de goblin, de loup, de troll et autre, saurtirent du brouillard et se mettre a attaquer a vue tout etre vivant croiser. A la suite des soldats on vit le jeune homme sortire de la brume en marchant. Le jeune srcuta les environs puis continua de marcher vers le centre de la ville. Arriver dans une petite ruelle il vit un jeune garcon recrocviller sur lui-meme. Un orc était devant lui arme haute pres a le tuer. L'orc frappa mais fut surprit que son coup n'ait pas frappe la cible se facha et se retourna pour frapper la personne qui l'avait empêcher. Quand il aperçu le jeune homme il se coucha au sol comme un chien batut devant son maitre. Le jeune homme botat l'orc au sol en lui criant apres:

TU OSE LEVER TON ARME DEVANT TON MAITRE!?! Cette enfant je le veux vivant! Pour te punir, tu devras le défendre au péril de ta vie salle molusque!

L'orc obéisa rapidement. Le massacre fut fini quelque temps après et les os gruger de leur chaire furent entasser dans le milieu de la ville. L'orc qui garda le jeune garcon était a coter du maitre et du jeune homme. Le jeune homme en armure sombre avanca et dit:

Maintenant notre gloire sera fait! Se jeune homme parlera du massacre! Si quelqu'un ici lui fait la moidre blessur qui risquerais de la tuer derant son trajet vers une grande ville je le turai de ma propre lame!

Il indica a un groupe d'homme de lescorter puis de revenir a l'armer par la suite, si, ils survivaient.

Ne me remercie pas!

J'ai corrigé facilement 98% de tes erreurs d'orthographes de la première partie

Un point à amélioré: varie davantage tes mots. À une place, tu utilises 3-4 fois le mot étrangement en 3 lignes.