Lucia Subie

Lucia Subie

-Au revoir Marie, je t'appelle samedi ! *la saluant de la main, un petit sourire aux lèvres*

Marie acquiéça d'un vif signe de tête, ses couettes à la Fifi Brin-d'acier revolant autour de sa nuque.
Lucia aimait bien les lucioles. Elle y pensait souvent, ses professeurs lui ayant si souvent répété durant sa tendre et jeune enfance:

-Lucia, tu aimes les lucioles? Haaaa, si épuisante comme torture... Les jeux de mots avec son nom la faisait frémir de fureur. Mais aujourd'hui, elle était rendue une jolie jeune petite fille vierge de quinze ans. Les garçons de son âge ne la taquinaient plus avec tout cela de peur de baisser dans son estime et de perdre toutes les chances d'un jour pouvoir déposer sur ses jolies petites lèvres pulpeuses un baiser mouillé.

C'est sur cet aurevoir qu'elle s'empressa finalement de quitter en direction de sa luxueuse demeure sur la rue des rosiers. Et quelle coïncidence que d'avoir sur cette même rue des lucioles! E t un voisin surnommé l'homme charmant... mais quelle importance que de connaître la vie des voisins? Il était bien plus intéressant par contre de connaître les enfants qui vivaient dans les maisons voisines ! Jean, son voisin, avait alors deux garçons et une fille. Lucia était bien amie avec sa fille prénommée Pétunia. Oh, cette chère Pétunia sortait rarement de chez elle; son père étant très sévère. Peu importe, ici on parle de Lucia. Alors qu'elle pénétrait sa propre maison en chantonnant des chansons de Britney Spears, elle jeta son sac à dos contre le mur, dit bonjour à ses parents et gravit les marches en direction de sa chambre parsemée d'affiches de groupes de musique pop particulièrement bons et élevés en qualité. Une grosse banane trônait sur le haut de son lit. C'est le genre de toutou que l'on dort toujours avec même rendu à vingt ans. Enfilant ses écouteurs, appuyant sur le bouton play du bout de son ongle verni rose. Elle était partie dans sa routine qui perdurait chaque fin d'après-midi jusqu'à l'heure du souper. Sa mère était en train de préparer un exquis pâté chinois mexicain à la thaïlaïdaise.

L'heure du souper arriva..comment le savoir? Le cris strident d'une mère déchaînée se fit entendre.
Mais Lucia n'entendait rien, car contrairement à tous les autres jour, elle avait élevé le son trop fort, et sous le plaisir de sa chanson préféré, se touchant sans rop de gêne, dénué des possibilité gênante, elle avait sa main dans son pantalon, jouant avec son douillet petit clitoris. Ses alors, que la porte de sa rose chambre s'ouvrit ave une rapidité hors norme, vue la bref colère de sa mère, qui se rabaissa voyant que l'effet étant le son, elle débrancha alors le courant, pour ques a fille puisse l'écouter et descendre avec elle main dans la main au repas, se bourrer comme des grande cochonne, regardant à quelque reprise le père avec de jolie petit faux sourire. Mais ses alors qu'elle coupa le champ électrique de son index et pouce, qu'elle vu sa fille se toucher, elle devint donc toute rouge, les yeux rond comme des poissons lui sortirent des orbites. Ravalant sa salive, tapotant l'épaule de sa fille qui sortit de son monde lunaire en sursaut, soutirant sa main mouillé de ses pantalons avec grande rapidité, elle se leva, ne regardant point sa mère et partit dans les toilettes. L'heure du souper passa, et elle mangea, et comme à l'accoutumé du vendredi soir, ses parents partirent à son grand bonheur, au cinéma voir un film romantique, pour tenter de raviver la vielle flamme de leur folle jeunesse. Ses parents partit, son ventre bien rempli, ses narines vidées, elle empoigna le téléphone, rendu 20 heures il était temps d'appeller les ami(e)s et de faire une bien gentille petite soirée. Lorie, Maxime, Marc-André, Rachelle et Pétunia. Hmmm toute une soirée en perspective. Ils arrivèrent tous l'un après l'autre en solitaire mis à part Pétunia qui avait amené ses 2 frères plus vieux. Visiblement Lucia n'en était pas enthousiasmé, mais peu importe, uniquement pour cette soirée, celà pouvait passer et s'endurer. Maintenant que tous étaient présent, Lucia offrit son célèbre PoP-Korn Nature avec du jus de citron dedans et des pincées de sel. Rendu 10 heures du soir, un film terminé, le ventre rassassié à nouveau, ils pouvaient maintenant commencé ce pourquoi était tous présent comme à l'accoutumé lors des vendredi soir où les parents croyaient qu'ils jouaient à la poupée. Chacun sortir leur marijuana. À cette âge le pot suffisait, loin encore était leur période d'expérimentation de l'acide. Les garçon roulaient pendant que les femmes se racontaient les dernières rumeurs à la mode à leur école, pour que le lundi d'après elles soient à nouveau au courant de tout. Un join, et puis 2, et puis 3 ! tous étaient fin près désormais pour se graisser les poumons de la résine de leur consommation ! Les fille fumait avec plus de délicatesse, jusqu'à l'effet débute, et alors, et seulement à cette instant, qu'elles commencaient à fumer comme de vrai cochonne sale. Les mâles regardaient les femelles telles des bêtes en rutes. Maxime et Marc-André s'approchèrent respectueusement chacun vers une des demoiselle fumant, pour lècher délicatement leur cou. Leur cou si chaud traverser des frissons des pulsion de leur battements sanglant du coeur.

L'effet faisait effet enfin, après avoir fumé pour 15$. Les laves caude et pétillante du paradis coulèrent le long des rivières des routes sinueusent de leur esprit enfentin troublé et massacré par la drogue, qui elles s'infiltrait dans leur entraille par les voies urinales, passant de nuages en nuages noir faisant fondre la cendre des neiges de l'hiver frisquet quil les avaient forcé à se brûler les doigts par la froideur de la saison des lâches. Lucciiiiaaa se sentait bien étrange ce vendredi-ci. Étrangement aux autres des mois dernier, son esprit voguait maintenant vers de nouveau horizon inconnue et mystérieux, elle en frémissait de crainte devant l'inconnue, mais elle apprit rapidement dans l'heure qui avait suivi à bien maitriser sa petite peur et à apprécier le buzz qu'elle vivait à l'instant. Qu'elle vie misérable elle vivait, elle ne méritait point de prendre place sur ses terre, à détériorer la vie de ses amies, à les entrainer dans la misère de l'absolue. L'un après l'autre ses ami(e)s quittèrent comme ils étaient arrivé sauf Pétunia qui vivaient bien proche de Lucia pouvait se permettre de rester plus longtemps. Ses frère qui eux étaient resté calme et tranquille comme des anges durant toute la soirée sans jamais porter l'attention sur eux, se faisait cotoyer maintenant par la bougeotte et partirent dans les toilettes, les deux frères enssemble laissant Pétunia et Lucia s'amuser enssemble, rire et bavarder de chose personnelle, ses chose que les gars aimeraient tant savoir sur ce que les filles disent. Mais qu'elle sont donc ses petits secrets que vous cachez si jalousement, comme un lien solide et solidaire que nous mâle n'avons pas et que nous ne cessons de briser dans l'espoir de vous posséder par l'intérieur de votre chair.

Les deux mec se pomponnèrent la conscience dans les toilettes, se répétant les paroles choisi autrefois pour toujours être prêt à leur projets parfoits malsain, parfoits gênant, comme ceux de parcourir la cour d'une jeune demoiselle inateignable. C'était l'une des raisons de leur haine envers femelle, une des raison de leur projets si malsain envers femelle.

-Pétunia, tu me semble bien étrange ce soir contrairement au autre soir, que se passe t-il? Ses se que tu as fumé qui te fait sentir si étrange? dit-elle, l'air sincère de compassion sur son visage jeune légèrement potelé comme celui des bébé.

-Laisse faire.. tu ne peux comprendre.. toi tu as des parents qui t'aime, toi tu as tout ce que tu veux, les garçons de l'école te court tous après, tu as de bonne note en classe et les professeur te porte attention. Moi je ne suis que la coqueluche de ton cercle d'ami ! sur ses dernier mots, Pétunia semblait colérique, mais ses réel sentiments prirent le dessus, et une larme coula le long de son hideux petit visage parsemé par de jolies boutons près pour l'explosion.

Ses alors que Lucia vint à ses côtés sur le divan, la prenant dans ses bras pour la consoler, que les deux frères de Pétunia sortaient de la toilettes, le regard chaud et inquiètant. Sur le bas des narines de l'un d'eux, une sorte de poudre fine et blanche y était, comme si cette substance tentait de rejoindre ses copins dans les vaisseaux naseaux du mâle mal bâti.

Le reste de la lecture, est défénitivement que la malheureuse preuve que l'esprit écrit pour mieux agir dans cette réalité que nous tentons tous tant de comprendre.. d'apprivoiser...

Pétunia, regarda d'un oeil vitreux son plus grand frère.
Le plus petit frère, changa rapidement de trait facial et s'exclama;

-MAIS QU'AS-TU DONC FAIT À MA SOEUR POUR QU'ELLE PLEURE AINSI !

Lucia sursauta sur les dires, provoquant une vague de tremblement sur le corps de Pétunia,qui se dégaga rapidement pour aller se recroqueviller derrère son frèrot. Qui lui s'abaissa, humant l'odeur près de son cou, lui chuchottant à l'oreille;

-Unne uu uu une pupute ute aa..a.a. lle drroit d.d..de rirre. dit-il bagayant comme un mongole.

Les lumières étaient faible, laissant le règne à l'ombre qui surpassait en espace l'influence de Lucia en sa demeure. Comment réagir lorsque l'on ne sentait plus cher soi dans sa propre maison. Quand l'énergie dégagée par autrui dominait l'ambiance familliale.

Le frère mongole dit à sa soeur et à son autre grand-frère de quitter la maison et de retourner voir leur père. Il avait définitivement quelque chose à accomplir en ses lieux. Les deux le regardèrent d'un oeil interrogateur, mais le mongole ne voulu rien céder. Il était ferme et décidé.

-Alors ma petite luciole, tu te rappelle de moi ? dit-il sur un ton d'espoir et d'instinct de joueur.

Lucia passa sa main sur son front, les effet de sa drogue commencant à cesser puis elle lui fit signe que non.

-Ton admirateur secret.. celui qui dépensa des fortunes en fleur pour toi. Celui qui t'observe depuis tant d'année. Celui qui massacre tes amoureux. Ses moi Lucia ses moi, l'homme charmant *esquissant un sourire mélangeant folie et démence*.

Elle ne prit guère de temps à s'inquiéter des intentions du garçon devant lui, mais elle ne prit point ses intuitions aux sérieux, ne croyant pas que celà pouvait lui arriver, alors elle resta calme en sa présence. Alors que lui vint sans invitation, prendre place à ses côtés, plongeant son regard dévastateur en le sien.

-Alors ma petite Luciole, ressens-tu quelque chose envers moi? Car moi si.

Et voilà que les questions typiquements pièges des violeurs débutèrent.

-Tu sais ma petite Luciole, moi j'aime la belle et la bête.
-J'aime la ribambelle, spécialement paillasson.
-Tu sais j'aime bien dormir en cuillère, sentant la chaleur corporel de ma petite soeur.
-Mais j'ai 18 ans aujourd'hui, et je suis las de toute ses insultes à mon égard. Je m'assurerai flingue à la ceinture dans un avenir proche, mais pour l'instant je ne fait qu'endurer le regard des gens. J'aimerais prendre l'autoroute de la fortune, mais ma pensé magique ne fait que m'enfoncer. J'avais 7 ans quand je suis arrivé en cette ville. Arrivant d'une ville anglaise où les bagarres règlaient les problèmes, je me retrouve en un endroit, que seul les mots son arme combattante. Je ne suis pas se que mon père aurait voulu.. Mais je ferai au moin ce que lui faisait en sa jeunesse. DÉMONTRER LA FABLAISSE DES FEMELLES.. Vous vous prenez pour ce dont vous n'êtes pas. Vous êtes tous comme des prunelles empoisonnées ! Mais ce soir... ses moi qui vait t'empoisonner !

Et ses à ce moment précis que Lucia tenta de fuir, son avant bras en possession de la main ferme de son agresseur qui avait prévu le coup et l'avait empoigné avec force. Il lui colla le visage contre le cuir rouge et poilu du divan à l'allure richissime, les murs du salon tout aussi rouge, donnaient une ambiance parfaitement adéquate pour la situation. Le grand miroir près de la cuisine reflètait la scène comme jamais elle n'avais pu être aussi bien reflèté.. du moin tant qu'un miroir peu reflèter mieux qu'il ne l'ai déjà fait.

Gémissant, gigotant, sa salive recouvrant une partie du recouvrement du divan, que sa gueule surplombait avec tristesse. Oh cette jolie petite gueule d'agace, rien n'aurait pu la sauver, aucune situation n'aurait pu la sortir de se pétrain dans lequel on l'avait fourré.



a suivre....

Le pot: bah je l'ai dis.. le pot.

Change les termes du genre buzz, cochonne sale, joint (alouette je te plumerai!)pour des termes plus abstraits.

À moins bien sûr que l'idée première était d'utiliser un langage courant pour illustrer une situation courante. Si c'est le cas, alors j'aurais dû fermer ma gueule.


Les fleurs: Bravo, j'ai énormément de difficulté à trouver un contexte réel à mes histoires. J'aime aussi le fait que tu te détaches du personnage principal pour faire une critique générale à la fin du chapitre (partie, page?).

Lucia tu aimes les lucioles: superbe jeu de mot qui tourne et retourne dans ma tête. La pauvre fille, il y a de quoi rendre fou.

L'emote ajoute beaucoup au récit, tu devrais en faire davantage. C'est, je crois, une façon plus intéressante de vor les actions des personnages lors de dialogues.

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En résumé pour ceux qui en ont marre de me lire, c'est un bon récit dans l'ensemble. Retouche le un petit peu, une miette, un atome, un neutron, un quark... en te relisant, j'en découvre toujours plus sur Lucia, que ce soit dans ta façon d'écrire ou dans sa façon d'agir.

pour le language populaire, c'était voulu. Je tentais de foutre une baffe dans la gueule des jeunes enfant stupide et innocent, qui se croit intelligent alors qui ne font que faire boire leur pisse à leur parents. Ses genre de texte que j'écris, dans la même série que l'homme charmant, son mes frustration dison exprimer en histoire.

Je voulais revirer la partie du texte ou il y a ses terme, dans un contexte si stupide, pour démontrer l'imbéciliter de leur actes (au personnages).

Tu comprend?, sinon je vais tenter de t'expliquer mieux,

Merci de la critique, ses toujours très constructif

Oui je comprends parfaitement. C'est mieux maintenant que je le sais ainsi. Après tout, le langage populaire permet de rejoindre davantage de personne.

pour mieux les massacrer.

Aurait tu abandonner cette histoire?

non je suis juste très occupé, mais aussitôt que mes examen sont fini je reviens en force.

edit: en vert

Nooon! tu l'as continuée? Pour moi?

Super alors, je vais la lire, quitte à remettre ma propre histoire à plus tard.

*se met à penser à des commentaires*

Mes impressions:

Vulgaire, accessible par les minorités, simple et explicite: magnifique.

Le fait qu'au beau milieu tu ajoutes un commentaire du genre : ''Cette émission contient des scènes de violence...'' ajoute une proximité entre le lecteur et l'oeuvre. De plus, la fin est merveilleuse. Lorsque tu parles de sa petite gueule d'agace, on se sent vraiment d'attaque. On l'imagine sans que tu ais besoin d'y mettre plus de précision.

C'est ce qui donne un cachet à ton oeuvre: sa simplicité. Pas besoin d'utiliser le gros langage comme moi pour faire un bijou: Lucia Subie en est la preuve.

Essaies-tu d'intégrer ton personnage de l'homme charmant? Sinon, je te suggères que pendant son viol elle se remémore des indices pouvant faire un lien entre la scène et son passé ''admiratif'' pour cette petite droguée.

Mes félicitations, une fois de plus.

C'est une claque pour tous ces élitistes qui font trop compliqués, quitte à endormir leur auditoire.

Une suite?

bien sur qu'il y aura une suite, et en effet je veux impregner l'homme charmant dans tout mes texte du genre, que se soit subtile ou evident.